La fin d’année approche. Et nous allons fêter ça ! Que ce soit à l’occasion de Noël, à l’occasion du Nouvel An, à l’occasion de la visite de la famille, nous allons faire la fête.

Mais … que fêtons-nous ?

Dans un monde imparfait comme le nôtre, il n’y a pas de succès définitifs qui permettent une fête sereine. La fête se dissipe et nous faisons face à nouveau à notre quotidien, au train-train…jusqu’à la prochaine fête.

Alfred de Musset écrit « Je suis triste comme un lendemain de fête ».

Stromaé explique dans « Alors on danse », que nous faisons la fête « pour oublier les problèmes ».

Nous avons besoin d’une source de joie solide pour nous permettre une vraie fête qui dure plus que quelques heures récréatives.

Jésus-Christ nous offre cette joie. L’histoire originelle de la nativité décrit l’irruption de la lumière dans les ténèbres, le retour de l’espoir dans la tristesse, le début du renouveau. Dieu lui-même s’incarne pour rencontrer les hommes, créés à son image. L’Éternité s’incarne dans un bébé pour expérimenter le quotidien de l’humanité et le transformer. Par son œuvre, Jésus nous offre une nouvelle vie, qui dépasse les contraintes terrestres. Il nous offre une réconciliation avec Dieu, avec nous-même, avec les autres, avec la nature et un espoir solide pour l’éternité.

Il nous offre une vraie raison de faire la fête.